****
POTUS BARACK OBAMA: J'ai souvent répété que ce qui confère à l'Amérique son caractère exceptionnel, ce n'est pas notre richesse ou notre taille ou nos gratte-ciels ou notre puissance militaire...
C'est le fait que l'Amérique soit la seule nation dans l'histoire de l'humanité constituée d'individus de toutes races, de toutes religions et de toutes cultures, venant des quatre coins de la planète. Et que nous ayons eu confiance en notre démocratie, nos principes communs, pour fusionner ce fatras d'humanité et en faire un seul peuple.
Rien ne symbolise mieux cette réalité que notre musique. C'est la manière dont des générations d'Américains ont assemblé ensemble toutes les traditions imaginables – des rythmes africains aux ballades irlandaises – pour créer quelque chose d’entièrement nouveau. Que ce soit le Jazz ou le Blues, la Country ou le Rock'n'Roll.
En même temps, notre musique a souvent été un miroir des lignes de fracture de la société américaine. Elle se voit dans ce qui s'écoute et devant la façon dont les bénéfices sont redistribués, et s'entend dans les chansons de ceux qui ont été relégués aux marges de la société, et dans celle de ceux qui insistent pour que leurs vérités soient enfin entendues. Notre musique a le pouvoir de re-façonner les attitudes sociales et d'établir des connexions entre les citoyens lorsque de simples mots – y compris dans de bons discours – ne suffisent pas.
[Le synthétiseur joue]
C'est le fait que l'Amérique soit la seule nation dans l'histoire de l'humanité constituée d'individus de toutes races, de toutes religions et de toutes cultures, venant des quatre coins de la planète. Et que nous ayons eu confiance en notre démocratie, nos principes communs, pour fusionner ce fatras d'humanité et en faire un seul peuple.
Rien ne symbolise mieux cette réalité que notre musique. C'est la manière dont des générations d'Américains ont assemblé ensemble toutes les traditions imaginables – des rythmes africains aux ballades irlandaises – pour créer quelque chose d’entièrement nouveau. Que ce soit le Jazz ou le Blues, la Country ou le Rock'n'Roll.
En même temps, notre musique a souvent été un miroir des lignes de fracture de la société américaine. Elle se voit dans ce qui s'écoute et devant la façon dont les bénéfices sont redistribués, et s'entend dans les chansons de ceux qui ont été relégués aux marges de la société, et dans celle de ceux qui insistent pour que leurs vérités soient enfin entendues. Notre musique a le pouvoir de re-façonner les attitudes sociales et d'établir des connexions entre les citoyens lorsque de simples mots – y compris dans de bons discours – ne suffisent pas.
[Le synthétiseur joue]
****
[Bruce Springsteen joue Further On Up the Road d'Eric Clapton à la guitare]
POTUS BARACK OBAMA: [Il chante] Further on up the road... Dern nah dern nah... Someone's gonna hurt you like... [Il chante] Attends, on doit trouver la bonne note. Je dois... Je dois m'accorder à toi.
BRUCE SPRINGSTEEN: Laisse-moi entendre où tu en es.
POTUS BARACK OBAMA: [Il chante] Further on up the road... Further on up the road... [Il chante] Fur...
BRUCE SPRINGSTEEN: [Il chante] Further on up the road...
POTUS BARACK OBAMA:[Il chante] Further on up the road... You been laughing, pretty baby... Someday you’re gonna be cryin’... [Il chante]
[Bruce Springsteen continue de jouer Further on Up the Road d'Eric Clapton à la guitare]
[Il chante] Further on up the road... [rires] Tu... [rires] J'ai oublié ce dernier vers. Euhh... C'est le bon quand même.
BRUCE SPRINGSTEEN: [rires]
POTUS BARACK OBAMA: Donc, la musique.
BRUCE SPRINGSTEEN: Tu es prêt ?
POTUS BARACK OBAMA: Oui, je suis prêt, mec.
POTUS BARACK OBAMA: [Il chante] Further on up the road... Dern nah dern nah... Someone's gonna hurt you like... [Il chante] Attends, on doit trouver la bonne note. Je dois... Je dois m'accorder à toi.
BRUCE SPRINGSTEEN: Laisse-moi entendre où tu en es.
POTUS BARACK OBAMA: [Il chante] Further on up the road... Further on up the road... [Il chante] Fur...
BRUCE SPRINGSTEEN: [Il chante] Further on up the road...
POTUS BARACK OBAMA:[Il chante] Further on up the road... You been laughing, pretty baby... Someday you’re gonna be cryin’... [Il chante]
[Bruce Springsteen continue de jouer Further on Up the Road d'Eric Clapton à la guitare]
[Il chante] Further on up the road... [rires] Tu... [rires] J'ai oublié ce dernier vers. Euhh... C'est le bon quand même.
BRUCE SPRINGSTEEN: [rires]
POTUS BARACK OBAMA: Donc, la musique.
BRUCE SPRINGSTEEN: Tu es prêt ?
POTUS BARACK OBAMA: Oui, je suis prêt, mec.