02 The Wayfarer.mp3 (9.85 Mo)
It's the same sad story, love and glory going 'round and 'round
It's the same old cliché, a wanderer on his way, slipping from town to town
Some find peace here on the sweet streets, the sweet streets of home
Where kindness falls and your heart calls for a permanent place of your own
I'm a wayfarer, baby, I drift from town to town
When everyone's asleep and the midnight bells sound
My wheels are hissing up the highway, spinning 'round and 'round
You start out slow in a sweet little bungalow, something two can call home
Then rain comes falling, the blues come calling, and you're left with a heart of stone
Some folks are inspired sitting by the fire, slippers tucked under the bed
But when I go to sleep I can't count sheep for the white lines in my head
I'm a wayfarer, baby, I roam from town to town
When everyone's asleep and the midnight bells sound
My wheels are hissing up the highway, spinning 'round and 'round
Where are you now
Where are you now
Where are you now
I'm a wayfarer, baby, I roam from town to town
When everyone's asleep and the midnight bells sound
My wheels are hissing up the highway, spinning 'round and 'round
I'm a wayfarer, baby
I'm a wayfarer, baby
I'm a wayfarer, baby (wayfarer, baby)
I'm a wayfarer, baby (wayfarer, baby)
...
It's the same old cliché, a wanderer on his way, slipping from town to town
Some find peace here on the sweet streets, the sweet streets of home
Where kindness falls and your heart calls for a permanent place of your own
I'm a wayfarer, baby, I drift from town to town
When everyone's asleep and the midnight bells sound
My wheels are hissing up the highway, spinning 'round and 'round
You start out slow in a sweet little bungalow, something two can call home
Then rain comes falling, the blues come calling, and you're left with a heart of stone
Some folks are inspired sitting by the fire, slippers tucked under the bed
But when I go to sleep I can't count sheep for the white lines in my head
I'm a wayfarer, baby, I roam from town to town
When everyone's asleep and the midnight bells sound
My wheels are hissing up the highway, spinning 'round and 'round
Where are you now
Where are you now
Where are you now
I'm a wayfarer, baby, I roam from town to town
When everyone's asleep and the midnight bells sound
My wheels are hissing up the highway, spinning 'round and 'round
I'm a wayfarer, baby
I'm a wayfarer, baby
I'm a wayfarer, baby (wayfarer, baby)
I'm a wayfarer, baby (wayfarer, baby)
...
****
C’est la même histoire triste, l'amour et la gloire encore et encore
C'est le même vieux cliché, un vagabond en chemin, glissant de ville en ville
Certains y trouvent la paix dans ces rues délicieuses, les rues délicieuses du foyer
Où tombe la bonté et où votre cœur réclame un endroit à soi où se poser
Je suis un voyageur, ma chérie, je dérive de ville en ville
Lorsque tout le monde dort et que sonnent les cloches de minuit
Mes pneus crissent sur la route, et tournent encore et encore
Tu commences lentement dans un charmant petit bungalow, quelque chose qu'à deux tu peux considérer comme un foyer
Puis la pluie tombe, la déprime t’appelle, et tu finis pas avoir un cœur de pierre
Certains sont inspirés assis au coin du feu, les pantoufles glissées sous le lit
Mais lorsque je vais me coucher, je ne compte pas les moutons mais les lignes blanches dans ma tête
Je suis un voyageur, ma chérie, j'erre de ville en ville
Lorsque tout le monde dort et que sonnent les cloches de minuit
Mes pneus crissent sur la route, et tournent encore et encore
Où es-tu à présent
Où es-tu à présent
Où es tu à présent
Je suis un voyageur, ma chérie, j’erre de ville en ville
Lorsque tout le monde dort et que sonnent les cloches de minuit
Mes pneus crissent sur la route, et tournent encore et encore
Je suis un voyageur, ma chérie
Je suis un voyageur, ma chérie
Je suis un voyageur, ma chérie (un voyageur, ma chérie)
Je suis un voyageur, ma chérie (un voyageur, ma chérie)
...
C'est le même vieux cliché, un vagabond en chemin, glissant de ville en ville
Certains y trouvent la paix dans ces rues délicieuses, les rues délicieuses du foyer
Où tombe la bonté et où votre cœur réclame un endroit à soi où se poser
Je suis un voyageur, ma chérie, je dérive de ville en ville
Lorsque tout le monde dort et que sonnent les cloches de minuit
Mes pneus crissent sur la route, et tournent encore et encore
Tu commences lentement dans un charmant petit bungalow, quelque chose qu'à deux tu peux considérer comme un foyer
Puis la pluie tombe, la déprime t’appelle, et tu finis pas avoir un cœur de pierre
Certains sont inspirés assis au coin du feu, les pantoufles glissées sous le lit
Mais lorsque je vais me coucher, je ne compte pas les moutons mais les lignes blanches dans ma tête
Je suis un voyageur, ma chérie, j'erre de ville en ville
Lorsque tout le monde dort et que sonnent les cloches de minuit
Mes pneus crissent sur la route, et tournent encore et encore
Où es-tu à présent
Où es-tu à présent
Où es tu à présent
Je suis un voyageur, ma chérie, j’erre de ville en ville
Lorsque tout le monde dort et que sonnent les cloches de minuit
Mes pneus crissent sur la route, et tournent encore et encore
Je suis un voyageur, ma chérie
Je suis un voyageur, ma chérie
Je suis un voyageur, ma chérie (un voyageur, ma chérie)
Je suis un voyageur, ma chérie (un voyageur, ma chérie)
...
****
NOTES
"Les voitures. C'est mon 19ème album et j'écris encore sur les voitures. J'écris sur des personnages dans des voitures, quoi qu'il en soit. Pourquoi ? Je pense que la voiture est une métaphore puissante à mes yeux. Ici aux États-Unis, nous vivons encore une grande partie de notre existence dans la voiture. Essayant juste d'aller d'un endroit à un autre, d'un endroit à un autre. Je suppose qu'il y a 40 ans, les voitures représentaient les routes ouvertes, la liberté. Plus tellement aujourd'hui, où c'est, au mieux, une métaphore sur le mouvement. Lorsque nous sommes dans une voiture, nous avons toujours l'impression d'avancer, au-delà de l’horizon, après le virage, vers le futur. Parfois, ça peut fixer l'esprit. Mais est-ce que nous avançons ? Non... la plupart du temps, nous ne faisons que bouger" (Stone Hill Farm, avril 2019)
"Les voitures. C'est mon 19ème album et j'écris encore sur les voitures. J'écris sur des personnages dans des voitures, quoi qu'il en soit. Pourquoi ? Je pense que la voiture est une métaphore puissante à mes yeux. Ici aux États-Unis, nous vivons encore une grande partie de notre existence dans la voiture. Essayant juste d'aller d'un endroit à un autre, d'un endroit à un autre. Je suppose qu'il y a 40 ans, les voitures représentaient les routes ouvertes, la liberté. Plus tellement aujourd'hui, où c'est, au mieux, une métaphore sur le mouvement. Lorsque nous sommes dans une voiture, nous avons toujours l'impression d'avancer, au-delà de l’horizon, après le virage, vers le futur. Parfois, ça peut fixer l'esprit. Mais est-ce que nous avançons ? Non... la plupart du temps, nous ne faisons que bouger" (Stone Hill Farm, avril 2019)