She took off her stockings
I held them to my face
She had your ankles
I felt filled with grace
"Two hundred dollars straight in
Two-fifty up the ass" she smiled and said
She unbuckled my belt, pulled back her hair
And sat in front of me on the bed
She said, "Honey, how's that feel
Do you want me to go slow ?"
My eyes drifted out the window
Down to the road below
I felt my stomach tighten
The sun bloodied the sky
And sliced through the hotel blinds
I closed my eyes
Sunlight on the Amatitlan
Sunlight streaming thru your hair
In the Valle de dos Rios
Smell of mock orange filled the air
We rode with the vaqueros
Down into cool rivers of green
I was sure the work and that smile coming out 'neath your hat
Was all I'd ever need
Somehow all you ever need's never really quite enough you know
You and I, Maria, we learned it's so
She slipped me out of her mouth
"You're ready" she said
She took off her bra and panties, wet her finger, slipped it inside her
And crawled over me on the bed
She poured me another whisky, said "Here's to the best you ever had"
We laughed and made a toast
It wasn't the best I ever had
Not even close
I held them to my face
She had your ankles
I felt filled with grace
"Two hundred dollars straight in
Two-fifty up the ass" she smiled and said
She unbuckled my belt, pulled back her hair
And sat in front of me on the bed
She said, "Honey, how's that feel
Do you want me to go slow ?"
My eyes drifted out the window
Down to the road below
I felt my stomach tighten
The sun bloodied the sky
And sliced through the hotel blinds
I closed my eyes
Sunlight on the Amatitlan
Sunlight streaming thru your hair
In the Valle de dos Rios
Smell of mock orange filled the air
We rode with the vaqueros
Down into cool rivers of green
I was sure the work and that smile coming out 'neath your hat
Was all I'd ever need
Somehow all you ever need's never really quite enough you know
You and I, Maria, we learned it's so
She slipped me out of her mouth
"You're ready" she said
She took off her bra and panties, wet her finger, slipped it inside her
And crawled over me on the bed
She poured me another whisky, said "Here's to the best you ever had"
We laughed and made a toast
It wasn't the best I ever had
Not even close
****
Elle a enlevé ses bas
Je les ai tenus devant mon visage
Elle avait tes chevilles
Je me suis senti envahi par la grâce
"Deux cents dollars par devant
Deux cent cinquante par derrière" elle m'a dit en souriant
Elle a débouclé ma ceinture, a tiré ses cheveux en arrière
Et s'est assise devant moi sur le lit
Elle a dit, "Mon chéri, quel effet ça te fait
Veux-tu que j'aille doucement ?"
Mon regard a dérivé vers la fenêtre
Jusqu'à la route en contrebas
J'ai senti mon ventre se serrer
Le soleil a ensanglanté le ciel
Et s'est infiltré dans la pièce à travers les stores de l’hôtel
J'ai fermé les yeux
La lumière du soleil sur l'Amatitlan* (2)
La lumière du soleil glissant à travers tes cheveux
Dans la Valle de dos Rios* (3)
L'odeur du seringat emplissait l'atmosphère
Nous chevauchions avec les vaqueros*
Vers des rivières d'une eau fraiche et verte
J'étais certain que le travail et ce sourire qui émanait de sous ton chapeau
Était tout ce dont j'aurais besoin
D'une certaine manière, tout ce dont tu as besoin n'est jamais assez, tu sais
Toi et moi, Maria, nous avons appris que c'est ainsi
Elle m'a glissé hors de sa bouche
"Tu es prêt" a-t-elle dit
Elle a enlevé son soutien gorge et sa culotte, a mouillé son doigt, l'a glissé en elle
Et a rampé au-dessus de moi sur le lit
Elle m'a servi un autre whisky, a dit "Au meilleur coup de ta vie"
Nous avons ri et porté un toast
Ce n'était pas le meilleur coup de ma vie
Loin de là
*Amatitlan - rivière du centre du Mexique
*Valle de dos Rios - Vallée des deux Rivières
*Vaqueros - cowboys
Je les ai tenus devant mon visage
Elle avait tes chevilles
Je me suis senti envahi par la grâce
"Deux cents dollars par devant
Deux cent cinquante par derrière" elle m'a dit en souriant
Elle a débouclé ma ceinture, a tiré ses cheveux en arrière
Et s'est assise devant moi sur le lit
Elle a dit, "Mon chéri, quel effet ça te fait
Veux-tu que j'aille doucement ?"
Mon regard a dérivé vers la fenêtre
Jusqu'à la route en contrebas
J'ai senti mon ventre se serrer
Le soleil a ensanglanté le ciel
Et s'est infiltré dans la pièce à travers les stores de l’hôtel
J'ai fermé les yeux
La lumière du soleil sur l'Amatitlan* (2)
La lumière du soleil glissant à travers tes cheveux
Dans la Valle de dos Rios* (3)
L'odeur du seringat emplissait l'atmosphère
Nous chevauchions avec les vaqueros*
Vers des rivières d'une eau fraiche et verte
J'étais certain que le travail et ce sourire qui émanait de sous ton chapeau
Était tout ce dont j'aurais besoin
D'une certaine manière, tout ce dont tu as besoin n'est jamais assez, tu sais
Toi et moi, Maria, nous avons appris que c'est ainsi
Elle m'a glissé hors de sa bouche
"Tu es prêt" a-t-elle dit
Elle a enlevé son soutien gorge et sa culotte, a mouillé son doigt, l'a glissé en elle
Et a rampé au-dessus de moi sur le lit
Elle m'a servi un autre whisky, a dit "Au meilleur coup de ta vie"
Nous avons ri et porté un toast
Ce n'était pas le meilleur coup de ma vie
Loin de là
*Amatitlan - rivière du centre du Mexique
*Valle de dos Rios - Vallée des deux Rivières
*Vaqueros - cowboys
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NOTES
(1) Reno est une ville américaine située dans l’État du Nevada, célèbre pour ses casinos et pour être le seul État américain où la prostitution est légale, dans certains endroits autorisés.
(2) Le lac Amatitlan est un lac volcanique qui se situe au Guatemala, à côté de la capitale, Guatemala City.
(3) La Vallée des Deux Rivières est un lieu fictif.
(2) Le lac Amatitlan est un lac volcanique qui se situe au Guatemala, à côté de la capitale, Guatemala City.
(3) La Vallée des Deux Rivières est un lieu fictif.
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"Il est dans cette chambre avec cette personne de substitution car il n'arrive pas à faire face à la réalité. La physicalité, le contenu sexuel de la chanson était important, car le sexe occasionnel ferme ton livre, en quelque sorte. C'est de l'extase, et c'est une libération. Le sexe avec une personne que tu aimes ouvre ton livre, ce qui amène toujours une lecture risquée et effrayante" (New York Times, 24.04.2005)
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"Voici une chanson dont le thème est l'impossibilité de faire face à un véritable amour, alors vous essayez autre chose - et cela ne marche pas aussi bien non plus" (Chicago, 11.05.2005)