We met down in the valley, where the wine of love and destruction flowed
There in that curve of darkness, where the flowers of temptation grow
I left the rest for the others, it was you and nothing else
You felt so good to me baby, good as life itself
You were life itself, rushing over me
Life itself, the wind in black elms
Life itself, in your heart and in your eyes
I can't make it without you
I knew you were in trouble, anyone could tell
You carried your little black book from which all your secrets fell
You squandered all your riches, your, your beauty and your wealth
Like you had no further use for, for life itself
You were life itself, rushing over me
Life itself, the wind in black elms
Life itself, in your heart and in your eyes
I can't make it without you
Why do the things that we treasure most slip away in time
Till to the music we grow deaf and to God's beauty blind
Why do the things that connect us slowly pull us apart
Till we fall away in our own darkness, a stranger to our own hearts
And to life itself, rushing over me
Life itself, the wind in black elms
Life itself, in your heart and in your eyes
I can't make it without you
So here's one for the road
Here's one to your health
And to life itself, rushing over me
Life itself, the wind in the black elms
Life itself, in your heart and in your eyes
I can't make it without you
Life itself, life itself...
There in that curve of darkness, where the flowers of temptation grow
I left the rest for the others, it was you and nothing else
You felt so good to me baby, good as life itself
You were life itself, rushing over me
Life itself, the wind in black elms
Life itself, in your heart and in your eyes
I can't make it without you
I knew you were in trouble, anyone could tell
You carried your little black book from which all your secrets fell
You squandered all your riches, your, your beauty and your wealth
Like you had no further use for, for life itself
You were life itself, rushing over me
Life itself, the wind in black elms
Life itself, in your heart and in your eyes
I can't make it without you
Why do the things that we treasure most slip away in time
Till to the music we grow deaf and to God's beauty blind
Why do the things that connect us slowly pull us apart
Till we fall away in our own darkness, a stranger to our own hearts
And to life itself, rushing over me
Life itself, the wind in black elms
Life itself, in your heart and in your eyes
I can't make it without you
So here's one for the road
Here's one to your health
And to life itself, rushing over me
Life itself, the wind in the black elms
Life itself, in your heart and in your eyes
I can't make it without you
Life itself, life itself...
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Nous nous sommes rencontrés dans la vallée, là où coulait le vin de l'amour et de la destruction
Là dans cette courbe d'obscurité, où poussent les fleurs de la tentation
J'ai laissé le reste pour les autres, c'était toi et personne d'autre
Tu m'as fait une si bonne impression, ma chérie, aussi bonne que la vie même
Tu étais la vie même, accourant vers moi
La vie même, le vent dans les ormes noirs
La vie même, dans ton cœur et dans tes yeux
Je n'y arriverai pas sans toi
Je savais que tu avais des ennuis, tout le monde pouvait le voir
Tu portais ton petit livre noir d'où s'échappaient tous tes secrets
Tu dilapidais toutes tes richesses, ta beauté et ta fortune
Comme si tu n'avais plus d'utilité pour la vie même
Tu étais la vie même, accourant vers moi
La vie même, le vent dans les ormes noirs
La vie même, dans ton cœur et dans tes yeux
Je n'y arriverai pas sans toi
Pourquoi les choses que nous chérissons le plus s'évanouissent avec le temps
Jusqu'à devenir sourds à la musique et aveugles à la beauté de Dieu
Pourquoi les choses qui nous unissent nous éloignent lentement les uns des autres
Jusqu'à tomber dans notre propre obscurité, un étranger à notre propre cœur
Et à la vie même, accourant vers moi
La vie même, le vent dans les ormes noirs
La vie même, dans ton cœur et dans tes yeux
Je n'y arriverai pas sans toi
Alors un pour la route
Un à ta santé
Et à la vie même, accourant vers moi
La vie même, le vent dans les ormes noirs
La vie même, dans ton cœur et dans tes yeux
Je n'y arriverai pas sans toi
La vie même, la vie même...
Là dans cette courbe d'obscurité, où poussent les fleurs de la tentation
J'ai laissé le reste pour les autres, c'était toi et personne d'autre
Tu m'as fait une si bonne impression, ma chérie, aussi bonne que la vie même
Tu étais la vie même, accourant vers moi
La vie même, le vent dans les ormes noirs
La vie même, dans ton cœur et dans tes yeux
Je n'y arriverai pas sans toi
Je savais que tu avais des ennuis, tout le monde pouvait le voir
Tu portais ton petit livre noir d'où s'échappaient tous tes secrets
Tu dilapidais toutes tes richesses, ta beauté et ta fortune
Comme si tu n'avais plus d'utilité pour la vie même
Tu étais la vie même, accourant vers moi
La vie même, le vent dans les ormes noirs
La vie même, dans ton cœur et dans tes yeux
Je n'y arriverai pas sans toi
Pourquoi les choses que nous chérissons le plus s'évanouissent avec le temps
Jusqu'à devenir sourds à la musique et aveugles à la beauté de Dieu
Pourquoi les choses qui nous unissent nous éloignent lentement les uns des autres
Jusqu'à tomber dans notre propre obscurité, un étranger à notre propre cœur
Et à la vie même, accourant vers moi
La vie même, le vent dans les ormes noirs
La vie même, dans ton cœur et dans tes yeux
Je n'y arriverai pas sans toi
Alors un pour la route
Un à ta santé
Et à la vie même, accourant vers moi
La vie même, le vent dans les ormes noirs
La vie même, dans ton cœur et dans tes yeux
Je n'y arriverai pas sans toi
La vie même, la vie même...